Et si vous testiez le slow tourisme cet été ?
Moins loin, moins vite, moins cher, et avec une empreinte carbone plus réduite… Le tourisme durable n’attend plus que vous.
Cet été, prenez le temps de vraies vacances. Moins loin, plus lentes, et plus écologiques. De quoi réduire votre budget, mais aussi l’empreinte carbone de votre été.
Une tendance anti surconsommation
En moyenne, un Français sur deux se dit soucieux de l’empreinte écologique de ses vacances. Un sujet en fait tout sauf secondaire, quand on sait qu’en France, le tourisme génère en moyenne 97 millions de tonnes de CO2 par an, dont les deux tiers dus aux transports. Une excellente raison de privilégier le tourisme durable, ou « slow tourisme ».
Une tendance qui émerge ces dernières années en réaction à la surconsommation de certaines destinations à succès. Et si, au lieu de faire comme tout le monde, vous faisiez le choix, cet été, de privilégier des expériences authentiques, à la fois plus lentes, et plus écologiques, sans forcément partir loin ?
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Un été déconnecté
Selon le Baromètre des vacances d’été réalisé en 2024 par Ipsos pour le compte d’Europe Assistance, cette nouvelle tendance tente 76 % des Français. Le slow tourisme est une excellente occasion de redécouvrir des territoires, de déconnecter et de recréer une relation plus harmonieuse avec la nature.
Et si vous rangiez un peu votre smartphone et quittiez les réseaux sociaux pendant quelques semaines ? Le mariage idéal de ces vacances revues et corrigées : une vraie expérience à vivre et partager, le fait de prendre son temps pour l’apprécier, le choix de transports bas carbone, sans oublier la découverte du patrimoine et des cultures locales.
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Consommer et visiter localement
En réaction au tourisme de masse, à l’excès de voyages de notre époque, le slow tourisme représente une façon plus responsable de partir en vacances, privilégiant la qualité à la quantité en prenant son temps, dans un esprit de durabilité et de respect de l’environnement.
D’autant plus que le slow tourisme encourage la consommation de produits et services locaux, tout en étant plus économiques. Alors pourquoi pas s’évader en France, cette fois ? Après tout, l’Hexagone n’est-il pas l’une des premières destinations touristiques au monde ?
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